« Ciné Comédies » en résidence chez ACM
Cette rentrée 2020, entre crise économique et sanitaire, constitue un défi quotidien pour tous les organisateurs d’événements culturels. Dans ce contexte contraint, comme en 2019, le festival « Cine Comedies » arrive en résidence sur le site de Arenberg Créative Mine, un message fort pour la reprise d’une vie sociale et culturelle dans les conditions sanitaires requises.
Agnès Jaoui, marraine 2020 de « Ciné Comédies » le mardi 29 septembre chez ACM
Dans le cadre de Festival « Cine Comedies » sur Lille du 30 septembre au 04 octobre, le Ciné Comédie Lab entre en résidence d’écriture de scénarios sur le site minier réhabilité en 2015 de Wallers Arenberg. Pour ce cru 2020, cinq projets de nouveaux talents ont été sélectionnés : La Cagnotte de Virginie Cheval, Hurluberlu de Léa Jeanne Boehringer et Hugo Gertner, Garde à vous ! de Sheila O’ Connor, Le Big love de Caroline Taconet, et Du couple et du moteur d’Anaïs Venturi.
Cet accueil se décline en deux temps avec du 31 août au 4 septembre 2020 une première session de travail à Arenberg Creative Mine sur la structure dramaturgique, les séquences dialoguées et le travail avec des comédiens pour tester des situations de comédie ; puis du 28 au 30 septembre de retour à Arenberg pour la deuxième session qui portera elle sur la préparation à l’art du pitch, c’est-à-dire la meilleure façon de présenter son projet à des producteurs. A cette occasion, les résidents pourront apprécier les remarques du comédien et metteur en scène Ali Bougheraba, et comme l’année dernière, ces jeunes talents bénéficieront aussi des précieux conseils de Fadette Drouart.
Cette résidence est un projet soutenu par La Porte du Hainaut et et Pictanovo, avec le concours de la Guilde Française des Scénaristes.
Enfin, cette édition 2020 a l’honneur et l’avantage d’une marraine de renom à travers Agnès Jaoui. Elle sera d’ailleurs à Arenberg Creative Mine le mardi 29 septembre, pour une soirée spéciale, avec la projection grand public gratuite du film « Un air de famille ».
Daniel Carlier