(Re)Découvrez les livres de l’avocate nordiste Blandine Lejeune
Durant cette période de confinement, vous avez (peut-être) le temps de vous plonger dans la lecture. Donc, le conseil du jour est la (re) découverte des romans policiers mettant en scène le Commissaire Boulard par l’avocate nordiste, Blandine Lejeune (visuel Blandine Lejeune au centre à la Médiathèque des Encres à Saint-Amand-les-Eaux).
Cumuler la profession d’avocate et d’auteure de romans policiers n’est pas une chose banale. Cette gageure est pourtant aboutie par l’avocate pénaliste, depuis 1987 au barreau de Lille, Blandine Lejeune. Elle était venue en visite à la Médiathèque des Encres à Saint-Amand-les-Eaux fin 2016… !
En décembre 2016, l’avocate lilloise était d’abord venue visiter le tout nouveau PAD (Point d’Accès au Droit) rue d’Orchies à St-Amand-les-Eaux dont le succès est établi depuis longtemps. Voici une photo des participants à cette manifestation (ci-dessous) avec le regretté Michel Méresse décédé récemment suite à une longue maladie (juste à gauche de Blandine Lejeune), il y a déjà un siècle… !
A cette époque, elle était venue également présenter son 3ème roman » Scandaleuse « , après un livre initial « Embrouille lilloise avec la naissance du Commissaire Boulard », puis « Dernier Tango à Lille ». La romancière témoignait de l’ambivalence entre ses deux casquettes même si son expérience professionnelle apporte une vérité criante dans les aventures de son personnage principal : « Il n’y a pas de fait réel, aucun vécu repris dans mes livres. J’aurai l’impression de trahir mes clients ! ».
Après trois années sans publication, Blandine Lejeune a sorti une nouvelle aventure de son Commissaire Boulart, un personnage allergique à l’informatique et aux réseaux sociaux, un enquêteur hors pair avec les bons vieux réflexes de la vieille école, rien ne l’ébranle, il poursuit son enquête, imperturbable ! Ce 4ème opus se nomme « Le Glaive et la Vengeance ».
Vous pouvez trouver les romans policiers de Blandine Lejeune sur la plateforme d’achat en ligne de la FNAC.
Daniel Carlier